Chef-d'oeuvre
Remarquable
Très bon
Moyen
Pauvre
Minable
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Vacarme |
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Can. 2020. Drame de Frederick Neegan Trudel avec Rosalie Pépin, Sophie Desmarais, Kelly Depeault. Placée dans un foyer de groupe de la DPJ, une fille de 13 ans trouve un exutoire à sa colère dans l'apprentissage de la guitare. Récit d'apprentissage sensible. Scénario mince et parfois capricieux. Réalisation nerveuse. Forte présence de l'attachante R. Pépin. |
| Genre : | Drame |
| Année : | 2020 |
| Durée : | 77 min. |
| Production : |
Line Sander Egede
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| Réalisation : |
Frederick Neegan Trudel
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| Scénario : |
Jonathan Lemire
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| Photographie : |
Philippe Roy
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| Musique : |
Maxime Fortin
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| Montage : |
Marianne Langston
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| Pays : |
Canada (Québec) |
| Distributeur : | Axia Films |
| Interprètes : |
Rosalie Pépin
Sophie Desmarais Kelly Depeault Rosalie Julien Rudi Loup Duperré Christophe Levac |
Émilie, 13 ans, est placée dans un foyer de groupe de la DPJ, à la demande de sa mère, artiste peintre incapable de bien prendre soin d'elle. La jeune fille fait la vie dure à son éducatrice et multiplie les infractions au règlement de la maison. Par défi, elle participe à une des escapades nocturnes d'Ariel, sa délurée voisine de lit, de trois ans son aînée. Mais l'expérience lui laisse un goût amer. Émilie trouve alors un exutoire à sa colère dans l'apprentissage de la guitare, auprès de Renaud, qui a été pendant six mois le compagnon de sa mère.
L’avis de Mediafilm
Dotée d'une forte présence à l'écran, la jeune Rosalie Pépin transcende, par sa performance juste et très attachante, le scénario mince et parfois capricieux de ce premier film de Frederick Neegan Trudel (le film à sketchs MONTREAL DEAD END). Toutefois, le cinéaste met en scène avec la nervosité requise, dans un décor montréalais expressif, ce récit d'apprentissage sensible, qui se situe dans la veine thématique de CATIMINI et 10 1/2. Méconnaissable, Sophie Desmarais fait des étincelles dans le rôle de la mère égocentrique, irresponsable et insaisissable. (Texte rédigé en novembre 2020, dans le cadre du Festival Cinémania)
Texte : Louis-Paul Rioux
